CONTENT WARNING: GRAPHIC VIOLENCE
What a horrifying week.
We are shocked at further news about the deaths (and mass casualties) of civilians in Israeli communities. The brutality is staggering.
Babies, children, teenagers at a rave, the elderly, entire families murdered. As Marit Stiles, Leader of Ontario’s Opposition, said unequivocally: there is no justification for acts of terrorism against civilians. Hamas must be condemned for its war crimes.
As one local Jewish leader reminded me, this was the greatest slaughter of Jews since the Holocaust. Over 1200 dead and thousands injured. I spoke to another Jewish friend who was house-sitting (minding kids and pets) for a woman whose first cousin was killed in her kibbutz (communal village) near the Gaza border.
We are also gutted by news from the Gaza Strip, where entire neighbourhoods and families have been lost after multiple volleys of bombs. Power, fuel, and electricity has been cut off, cell towers have been bombed, border crossings are bombed. Medicines are running out. Gas for generators powering hospitals is running out.
As I write these words, the Israeli military has told the residents of Gaza City to evacuate, preparing for a massive ground invasion. This is a move the United Nations insists will lead to catastrophic results after 1500 Gazans have been killed, including over 300 children; over 6000 are wounded, and more than 300,000 made homeless. This madness must stop.
Dr. Ehab Bader, a pediatrician from London, Ontario, is one or 475 Canadians trapped in Gaza and the West Bank. He arrived two weeks ago to care for his parents. He has been caring for wounded — and many children — in a hospital that will not function for much longer.
His words in today’s Globe and Mail should inspire a global movement for a ceasefire, negotiation, and urgent humanitarian assistance:
“I would simply like our government – all governments – to see us as human,” he said. “To support citizens on both sides.”
People in Ottawa are also worried for their safety. Places of worship, schools and community centres feel like potential targets, and not for the first time. Community safety plans are in place, but let us know if we can help. We are a call or email away.
We need a new peace movement that can push our federal government to play a positive role, and that work must happen soon.
Having Jewish and Palestinian voices leading this movement matters. The stakes are high.
Martin Griffiths, United Nations Under-Secretary General, just offered these plaintive words:
“My message to all sides is unequivocal: The laws of war must be upheld.
Those held captive must be treated humanely. Hostages must be released without delay.
Throughout hostilities, civilians and civilian infrastructure must be protected. Civilians must be allowed to leave for safer areas.
And humanitarian relief and vital services and supplies to Gaza must not be blocked.
The whole region is at a tipping point.
The violence must stop.”
Some might say this makes a case of moral equivalence between Israel and Hamas, but that isn’t true at all.
The case for a ceasefire is about moral consistency; we must consistently stand for human rights and international law, without exceptions.
We must also demand the federal government does its part to end this week’s cycle of violence.
Critical mass cycling event
A cycling Critical Mass ride will take place on Saturday, October 14 at 10 am starting at the Canadian War Museum and ending at Patterson Creek Park. This fun and welcoming bike ride is open to all and will be an empowering demonstration of the need for safe active transportation infrastructure.
AVERTISSEMENT SUR LE CONTENU : VIOLENCE GRAPHIQUE
Quelle semaine horrible !
Nous sommes choqués par les nouvelles concernant les décès (et les pertes massives) de civils dans les communautés israéliennes. La brutalité est stupéfiante.
Des bébés, des enfants, des adolescents lors d'une rave, des personnes âgées, des familles entières ont été assassinés. Comme l'a dit sans équivoque Marit Stiles, chef de l'opposition de l'Ontario, rien ne peut justifier des actes de terrorisme contre des civils. Le Hamas doit être condamné pour ses crimes de guerre.
Comme me l'a rappelé un dirigeant juif local, il s'agit du plus grand massacre de Juifs depuis l'Holocauste. Plus de 1 200 morts et des milliers de blessés. J'ai parlé à un autre ami juif qui gardait la maison d'une femme dont le cousin germain avait été tué dans son kibboutz (village communautaire) près de la frontière de Gaza.
Nous sommes également bouleversés par les nouvelles en provenance de la bande de Gaza, où des quartiers et des familles entières ont été détruits par de multiples bombardements. L'énergie, le carburant et l'électricité ont été coupés, les tours de téléphonie mobile ont été bombardées, les postes frontières ont été bombardés. Les médicaments s'épuisent. Il n'y a plus de gaz pour les générateurs qui alimentent les hôpitaux.
À l'heure où j'écris ces lignes, l'armée israélienne a demandé aux habitants de la ville de Gaza d'évacuer les lieux, se préparant à une invasion terrestre massive. Les Nations unies insistent sur le fait que cette décision aura des conséquences catastrophiques après que 1 500 habitants de Gaza ont été tués, plus de 6 000 blessés et plus de 300 000 sans-abri. Cette folie doit cesser.
Le Dr Ehab. Bader, pédiatre de London (Ontario), est l'un des 475 Canadiens piégés à Gaza et en Cisjordanie. Il est arrivé il y a deux semaines pour s'occuper de ses parents. Il a soigné des blessés - et de nombreux enfants - dans un hôpital qui ne fonctionnera plus très longtemps.
Les propos qu'il a tenus dans le Globe and Mail d'aujourd'hui devraient inspirer un mouvement mondial en faveur d'un cessez-le-feu, de négociations et d'une aide humanitaire urgente :
"Je voudrais simplement que notre gouvernement - tous les gouvernements - nous considère comme des êtres humains", a-t-il déclaré. Je voudrais simplement que notre gouvernement - tous les gouvernements - nous considère comme des êtres humains", a-t-il déclaré, "qu'il soutienne les citoyens des deux côtés".
Les habitants d'Ottawa s'inquiètent également pour leur sécurité. Les lieux de culte, les écoles et les centres communautaires ont l'impression d'être des cibles potentielles, et ce n'est pas la première fois. Des plans de sécurité communautaire ont été mis en place, mais faites-nous savoir si nous pouvons vous aider. Il suffit de nous appeler ou de nous envoyer un courriel.
Il est important que des voix juives et palestiniennes soient à la tête de ce mouvement. Les enjeux sont considérables.
Martin Griffiths, secrétaire général adjoint des Nations unies, vient de prononcer ces mots plaintifs:
"Mon message à toutes les parties est sans équivoque : Les lois de la guerre doivent être respectées.
Les personnes retenues en captivité doivent être traitées avec humanité. Les otages doivent être libérés sans délai.
Tout au long des hostilités, les civils et les infrastructures civiles doivent être protégés. Les civils doivent être autorisés à se rendre dans des zones plus sûres.
L'aide humanitaire et les services et fournitures essentiels à Gaza ne doivent pas être bloqués.
Toute la région est à un point de basculement.
La violence doit cesser.”
Certains pourraient dire qu'il s'agit d'une équivalence morale entre Israël et le Hamas, mais ce n'est pas du tout le cas.
Nous devons toujours défendre les droits de l'homme et le droit international, sans exception. Nous devons également exiger du gouvernement fédéral qu'il fasse sa part pour mettre fin au cycle de violence de cette semaine.
Une masse critique le 14 octobre, 2023
Une masse critique aura lieu le samedi 14 octobre à 10h à partir du Musée canadien de la guerre et se terminera au parc du ruisseau Patterson. Cette balade à vélo amusante et accueillante est ouverte à tous et permettra de démontrer la nécessité d'une infrastructure de transport actif sûre.